Le bois : de la forêt à mon bâtiment
Chez sevel. , nous sommes convaincus de l’intérêt qu’il y a à recourir à des ressources locales pour mener à bien ses projets. Si l’on parle souvent de réduction des émissions de carbone lié au transport, il existe une autre très bonne raison de favoriser les circuits courts : ceux-ci fournissent du travail à de nombreux acteurs et favorisent la bonne santé économique des territoires au cœur desquels ils sont ancrés.
Le bois est un matériau particulièrement intéressant pour mettre en pratique cette théorie : en effet, la ressource locale est abondante et les savoirs-faire pour la transformer existent. L’objectif de ce court billet est de pouvoir vous permettre de prendre conscience des différents acteurs qui vivent grâce à cette filière et qui interviennent depuis la forêt pour produire et transformer le bois que vous retrouvez dans votre bâtiment.
Le schéma ci-dessous représente visuellement le flux de matière depuis la forêt jusqu'au bâtiment que vous occupez :
Le bois est un matériau particulièrement intéressant pour mettre en pratique cette théorie : en effet, la ressource locale est abondante et les savoirs-faire pour la transformer existent. L’objectif de ce court billet est de pouvoir vous permettre de prendre conscience des différents acteurs qui vivent grâce à cette filière et qui interviennent depuis la forêt pour produire et transformer le bois que vous retrouvez dans votre bâtiment.
Le schéma ci-dessous représente visuellement le flux de matière depuis la forêt jusqu'au bâtiment que vous occupez :
En vert clair, on fait apparaître “l’amont” de la filière. En Turquoise, c’est la scierie, ou “première transformation”. En bleu, ce sont les transformations suivantes, et en orange, l’aval, c'est-à-dire la destination finale pour l’usage du bois.
Ce schéma peut sembler chargé… Et pourtant ce n’est qu’une version simplifiée de la réalité. Dans la réalité, plusieurs transformateurs industriels peuvent se succéder, l’un transformant par exemple des poutres en “profilés” de menuiseries et le suivant utilisant ces profilés pour fabriquer des fenêtres en séries, tandis qu’un artisan fabricant utilisera ces mêmes profilés pour réaliser des huisseries sur mesure. Les déchets générés à chaque étape sont toujours valorisés : soit en autoconsommation, soit renvoyés vers les industriels du panneau et du bois énergie. Il y a aussi d’autres usages du bois qui sont toujours à l’interface à différentes étapes : papeterie, tonnellerie, ameublement, artisanat, boissellerie…
Par ailleurs, “menuisier” et “charpentier” recouvrent des réalités qui peuvent être assez différentes : on peut faire la différence entre le fabricant et l’installateur (certains étant fabricants ET installateurs). De plus, les contraintes techniques de petits projets individuels ne sont pas les mêmes que celles de grands projets collectifs, et les solutions mises en œuvre par les entreprises diffèrent.
Ainsi, on comprend mieux l’objectif que nous nous sommes fixé chez sevel. : reconnecter “l’amont” et “l’aval” de la filière. La multiplicité des acteurs et la diversité de leur sensibilisation à la question de la traçabilité rendent la tâche ardue mais passionnante. C’est à plusieurs, en nous appuyant sur l’affirmation de vos aspirations que nous pourrons relever ce défi !
Ce schéma peut sembler chargé… Et pourtant ce n’est qu’une version simplifiée de la réalité. Dans la réalité, plusieurs transformateurs industriels peuvent se succéder, l’un transformant par exemple des poutres en “profilés” de menuiseries et le suivant utilisant ces profilés pour fabriquer des fenêtres en séries, tandis qu’un artisan fabricant utilisera ces mêmes profilés pour réaliser des huisseries sur mesure. Les déchets générés à chaque étape sont toujours valorisés : soit en autoconsommation, soit renvoyés vers les industriels du panneau et du bois énergie. Il y a aussi d’autres usages du bois qui sont toujours à l’interface à différentes étapes : papeterie, tonnellerie, ameublement, artisanat, boissellerie…
Par ailleurs, “menuisier” et “charpentier” recouvrent des réalités qui peuvent être assez différentes : on peut faire la différence entre le fabricant et l’installateur (certains étant fabricants ET installateurs). De plus, les contraintes techniques de petits projets individuels ne sont pas les mêmes que celles de grands projets collectifs, et les solutions mises en œuvre par les entreprises diffèrent.
Ainsi, on comprend mieux l’objectif que nous nous sommes fixé chez sevel. : reconnecter “l’amont” et “l’aval” de la filière. La multiplicité des acteurs et la diversité de leur sensibilisation à la question de la traçabilité rendent la tâche ardue mais passionnante. C’est à plusieurs, en nous appuyant sur l’affirmation de vos aspirations que nous pourrons relever ce défi !
Le bois : de la forêt à mon bâtiment
Chez sevel. , nous sommes convaincus de l’intérêt qu’il y a à recourir à des ressources locales pour mener à bien ses projets. Si l’on parle souvent de réduction des émissions de carbone lié au transport, il existe une autre très bonne raison de favoriser les circuits courts : ceux-ci fournissent du travail à de nombreux acteurs et favorisent la bonne santé économique des territoires au cœur desquels ils sont ancrés.
Le bois est un matériau particulièrement intéressant pour mettre en pratique cette théorie : en effet, la ressource locale est abondante et les savoirs-faire pour la transformer existent. L’objectif de ce court billet est de pouvoir vous permettre de prendre conscience des différents acteurs qui vivent grâce à cette filière et qui interviennent depuis la forêt pour produire et transformer le bois que vous retrouvez dans votre bâtiment.
Le schéma ci-dessous représente visuellement le flux de matière depuis la forêt jusqu'au bâtiment que vous occupez :
Le bois est un matériau particulièrement intéressant pour mettre en pratique cette théorie : en effet, la ressource locale est abondante et les savoirs-faire pour la transformer existent. L’objectif de ce court billet est de pouvoir vous permettre de prendre conscience des différents acteurs qui vivent grâce à cette filière et qui interviennent depuis la forêt pour produire et transformer le bois que vous retrouvez dans votre bâtiment.
Le schéma ci-dessous représente visuellement le flux de matière depuis la forêt jusqu'au bâtiment que vous occupez :
En vert clair, on fait apparaître “l’amont” de la filière. En Turquoise, c’est la scierie, ou “première transformation”. En bleu, ce sont les transformations suivantes, et en orange, l’aval, c'est-à-dire la destination finale pour l’usage du bois.
Ce schéma peut sembler chargé… Et pourtant ce n’est qu’une version simplifiée de la réalité. Dans la réalité, plusieurs transformateurs industriels peuvent se succéder, l’un transformant par exemple des poutres en “profilés” de menuiseries et le suivant utilisant ces profilés pour fabriquer des fenêtres en séries, tandis qu’un artisan fabricant utilisera ces mêmes profilés pour réaliser des huisseries sur mesure. Les déchets générés à chaque étape sont toujours valorisés : soit en autoconsommation, soit renvoyés vers les industriels du panneau et du bois énergie. Il y a aussi d’autres usages du bois qui sont toujours à l’interface à différentes étapes : papeterie, tonnellerie, ameublement, artisanat, boissellerie…
Par ailleurs, “menuisier” et “charpentier” recouvrent des réalités qui peuvent être assez différentes : on peut faire la différence entre le fabricant et l’installateur (certains étant fabricants ET installateurs). De plus, les contraintes techniques de petits projets individuels ne sont pas les mêmes que celles de grands projets collectifs, et les solutions mises en œuvre par les entreprises diffèrent.
Ainsi, on comprend mieux l’objectif que nous nous sommes fixé chez sevel. : reconnecter “l’amont” et “l’aval” de la filière. La multiplicité des acteurs et la diversité de leur sensibilisation à la question de la traçabilité rendent la tâche ardue mais passionnante. C’est à plusieurs, en nous appuyant sur l’affirmation de vos aspirations que nous pourrons relever ce défi !
Ce schéma peut sembler chargé… Et pourtant ce n’est qu’une version simplifiée de la réalité. Dans la réalité, plusieurs transformateurs industriels peuvent se succéder, l’un transformant par exemple des poutres en “profilés” de menuiseries et le suivant utilisant ces profilés pour fabriquer des fenêtres en séries, tandis qu’un artisan fabricant utilisera ces mêmes profilés pour réaliser des huisseries sur mesure. Les déchets générés à chaque étape sont toujours valorisés : soit en autoconsommation, soit renvoyés vers les industriels du panneau et du bois énergie. Il y a aussi d’autres usages du bois qui sont toujours à l’interface à différentes étapes : papeterie, tonnellerie, ameublement, artisanat, boissellerie…
Par ailleurs, “menuisier” et “charpentier” recouvrent des réalités qui peuvent être assez différentes : on peut faire la différence entre le fabricant et l’installateur (certains étant fabricants ET installateurs). De plus, les contraintes techniques de petits projets individuels ne sont pas les mêmes que celles de grands projets collectifs, et les solutions mises en œuvre par les entreprises diffèrent.
Ainsi, on comprend mieux l’objectif que nous nous sommes fixé chez sevel. : reconnecter “l’amont” et “l’aval” de la filière. La multiplicité des acteurs et la diversité de leur sensibilisation à la question de la traçabilité rendent la tâche ardue mais passionnante. C’est à plusieurs, en nous appuyant sur l’affirmation de vos aspirations que nous pourrons relever ce défi !
